Ligue 1 Joueur mais dispendieux, puis résilient et victorieux : le Racing d’un visage à l’autre

Alors que jusqu’à fin novembre, ils avaient souvent lâché des points après avoir mené au score, les Strasbourgeois montrent au contraire depuis le début 2025 leur faculté à rétablir des situations compromises et forcer à la fois la décision et leur destin.
St.G. - 05 avr. 2025 à 19:20 | mis à jour le 05 avr. 2025 à 19:28 - Temps de lecture : 3 min
Pour Valentin Barco et les Bleus, les entames de match sont parfois encore difficiles.  Photo Jean-Marc Loos
Pour Valentin Barco et les Bleus, les entames de match sont parfois encore difficiles. Photo Jean-Marc Loos

Longtemps cette saison, le Racing a traîné l’image d’une formation joueuse, séduisante et attrayante, mais incapable de tenir un résultat.

Au soir de leur revers à Nice le 24 novembre (2-1), le troisième et avant-dernier d’une série de quatre prolongée le 30 du même mois à Brest (3-1), les hommes de Liam Rosenior portaient ainsi dans le dos la peu glorieuse pancarte d’équipe ayant lâché le plus de points après avoir mené : 15 en 12 journées.

« C’est notre état d’esprit »

À l’inverse, ils n’en avaient récolté qu’un après avoir couru après le score. Le 6 octobre à la Meinau contre Lens (2-2), ils avaient par deux fois comblé leur retard. Mais depuis le début de l’année civile, la courbe s’est totalement inversée.

Sur leurs neuf victoires de 2025, les Bleus en ont signé trois – toutes à domicile – après avoir encaissé le premier but :...

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