Rencontre avec Christine Camdessus, déléguée générale du Fipadoc. Elle confie les grands enjeux autour de ce festival international du documentaire qui réunit, chaque année à Biarritz, professionnels et grand public. Commencé le 24 janvier il fermera ses portes le 1er février.

Quel est votre ressenti par rapport au déroulement de cette édition ?
Dans les tempêtes du monde, il existe des petits havres de paix, d’échanges de réflexions, et c’est délicieux. Nous sommes très attentifs à accueillir tous les professionnels, mais surtout à proposer au public le plus large possible une programmation exigeante qui ouvre les yeux, ouvre les cœurs, ouvre les esprits et permette le débat. Le documentaire raconte le monde, et actuellement c’est particulièrement très dur. Nous sommes heureux d’avoir cette fréquentation et cette qualité de réception des films proposés.
Que souhaitez-vous donner à voir à travers votre sélection de documentaires ?
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