Dire que Nismet ne bénéficie pas d’un bon départ dans la vie est un euphémisme. La lycéenne grandit comme elle peut, coincée entre une mère prostituée, aimante mais assommée par les médicaments, et l’homme violent qui vit à ses crochets. Ce dernier (Théo Costa-Marini, glaçant) ne cesse de tourner autour de l’adolescente et, à la suite d’une énième tentative pour abuser d’elle, Nismet fugue. Placée en foyer, la jeune fille est déterminée à avancer, coûte que coûte, et elle sait saisir les perches qui lui sont tendues pour se construire un avenir, tandis que sa mère sombre et commet l’irréparable.
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