Attaque fasciste à Paris : le mépris du ministre de l’Intérieur

Le dimanche 16 février, une vingtaine d’individus ont attaqué une projection d’un film antifasciste dans un local de travailleurs kurdes. Au cri de « Paris est nazi » ils ont roué de coups les militants présents dans le local, allant même jusqu’à poignarder deux d’entre eux. Interrogé lors des Questions au Gouvernement du mardi 18 février sur son manque de réaction, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a renvoyé dos à dos « l’extrême droite » et « l’ultra gauche. » Cyprien Caddeo, journaliste politique, revient sur ce renversement sémantique.

Attaque fasciste à Paris : le mépris du ministre de l’Intérieur
Le dimanche 16 février, une vingtaine d’individus ont attaqué une projection d’un film antifasciste dans un local de travailleurs kurdes. Au cri de « Paris est nazi » ils ont roué de coups les militants présents dans le local, allant même jusqu’à poignarder deux d’entre eux. Interrogé lors des Questions au Gouvernement du mardi 18 février sur son manque de réaction, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a renvoyé dos à dos « l’extrême droite » et « l’ultra gauche. » Cyprien Caddeo, journaliste politique, revient sur ce renversement sémantique.