Au procès du financement libyen, Nicolas Sarkozy dénonce un « réquisitoire politique et violent »

« Le contexte médiatique et politique est détestable (…) et je ne veux rien dire qui puisse alimenter la polémique », a déclaré l’ancien chef de l’État, mardi 8 avril, tout en dénonçant le réquisitoire du Parquet financier. Les avocats de Nicolas Sarkozy ont plaidé pendant cinq heures pour demander sa relaxe. Le tribunal rendra sa décision le 25 septembre.

Au procès du financement libyen, Nicolas Sarkozy dénonce un « réquisitoire politique et violent »
« Le contexte médiatique et politique est détestable (…) et je ne veux rien dire qui puisse alimenter la polémique », a déclaré l’ancien chef de l’État, mardi 8 avril, tout en dénonçant le réquisitoire du Parquet financier. Les avocats de Nicolas Sarkozy ont plaidé pendant cinq heures pour demander sa relaxe. Le tribunal rendra sa décision le 25 septembre.