Bruno Retailleau regrette de « faux débats » sur l’État de droit, « fondement de notre République »
Le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, a regretté mardi 1er octobre que ses propos sur l’État de droit aient été « instrumentalisés par de faux débats ». « Il ne peut y avoir de démocratie sans État de droit », a-t-il assuré, quelques heures avant la déclaration de politique générale de Michel Barnier.
Le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, a regretté mardi 1er octobre que ses propos sur l’État de droit aient été « instrumentalisés par de faux débats ». « Il ne peut y avoir de démocratie sans État de droit », a-t-il assuré, quelques heures avant la déclaration de politique générale de Michel Barnier.