En Corée du Sud, des milliers de manifestants dans les rues pour dénoncer la destitution de l'ex-président Yoon
La Cour constitutionnelle du pays a jugé, vendredi 4 avril, que la déclaration surprise de la loi martiale par Yoon Suk Yeol constituait une «grave menace pour la stabilité de la république démocratique».

La Cour constitutionnelle du pays a jugé, vendredi 4 avril, que la déclaration surprise de la loi martiale par Yoon Suk Yeol constituait une «grave menace pour la stabilité de la république démocratique».