En Corée du Sud, le fléau des deepfakes pornographiques

Début septembre, la police sud-coréenne a ouvert une enquête contre Telegram. L’application est accusée d’“encourager” la diffusion de contenus pornographiques truqués, notamment des images de mineurs. Le journal japonais “Mainichi Shimbun” a interrogé une militante féministe menant un travail d’infiltration dans les groupes de discussion où ces images prolifèrent.

En Corée du Sud, le fléau des deepfakes pornographiques
Début septembre, la police sud-coréenne a ouvert une enquête contre Telegram. L’application est accusée d’“encourager” la diffusion de contenus pornographiques truqués, notamment des images de mineurs. Le journal japonais “Mainichi Shimbun” a interrogé une militante féministe menant un travail d’infiltration dans les groupes de discussion où ces images prolifèrent.