Faits divers : quand la « course » aux prénoms des suspects devient un enjeu identitaire

C’est notamment pour avoir relayé les identités, photos et adresses de personnes arrêtées après la mort de Thomas à Crépol fin 2023 que cinq prévenus ont été jugés mercredi à Paris. À chaque fait divers sensible, les patronymes des suspects sont très vite publiés sur les réseaux sociaux ou dans des médias afin de donner une grille de lecture idéologique des faits.

Faits divers : quand la « course » aux prénoms des suspects devient un enjeu identitaire
C’est notamment pour avoir relayé les identités, photos et adresses de personnes arrêtées après la mort de Thomas à Crépol fin 2023 que cinq prévenus ont été jugés mercredi à Paris. À chaque fait divers sensible, les patronymes des suspects sont très vite publiés sur les réseaux sociaux ou dans des médias afin de donner une grille de lecture idéologique des faits.