Giorgia Meloni soupçonnée d’avoir facilité la libération et le renvoi à Tripoli d’un tortionnaire libyen poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité

La cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni a annoncé, mardi 28 janvier, dans une vidéo sur Facebook, qu’elle et deux de ses ministres étaient visés par une enquête après l’expulsion d’un responsable libyen. Le tortionnaire fait l’objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

Giorgia Meloni soupçonnée d’avoir facilité la libération et le renvoi à Tripoli d’un tortionnaire libyen poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité
La cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni a annoncé, mardi 28 janvier, dans une vidéo sur Facebook, qu’elle et deux de ses ministres étaient visés par une enquête après l’expulsion d’un responsable libyen. Le tortionnaire fait l’objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.