IVG : un acte pratiqué par peu de médecins

Si les interruptions volontaires de grossesse augmentent, elles restent pratiquées par peu de professionnels de santé – autour de 3 % des généralistes et des gynécologues en cabinet. Si la clause de conscience peut en partie l’expliquer, c’est aussi parce que l’acte médical reste peu considéré et peu rémunéré, 50 ans après la loi Veil.

IVG : un acte pratiqué par peu de médecins
Si les interruptions volontaires de grossesse augmentent, elles restent pratiquées par peu de professionnels de santé – autour de 3 % des généralistes et des gynécologues en cabinet. Si la clause de conscience peut en partie l’expliquer, c’est aussi parce que l’acte médical reste peu considéré et peu rémunéré, 50 ans après la loi Veil.