La décision de la CPI est irréfléchie : pourquoi Nétanyahou et pas Assad ou Hemeti ?
Cet éditorial du “Washington Post” tire à boulets rouges sur la Cour pénale internationale (CPI), l’accusant de placer sur un pied d’égalité les dirigeants “élus d’un pays démocratique” et les “dictateurs capables de tuer en toute impunité”.
Cet éditorial du “Washington Post” tire à boulets rouges sur la Cour pénale internationale (CPI), l’accusant de placer sur un pied d’égalité les dirigeants “élus d’un pays démocratique” et les “dictateurs capables de tuer en toute impunité”.