« La paix nécessite paradoxalement que l’on se batte »

Le quinzième numéro de la revue Philitt est explicite : « La guerre ne meurt jamais ». A sa lecture, Jean de Saint-Cheron a souhaité réfléchir au concept même de « guerre » dans notre société actuelle. Omniprésentes, elles sont nécessaires pour la paix que nous souhaitons, rappelle-t-il dans sa chronique.

« La paix nécessite paradoxalement que l’on se batte »
Le quinzième numéro de la revue Philitt est explicite : « La guerre ne meurt jamais ». A sa lecture, Jean de Saint-Cheron a souhaité réfléchir au concept même de « guerre » dans notre société actuelle. Omniprésentes, elles sont nécessaires pour la paix que nous souhaitons, rappelle-t-il dans sa chronique.