« L’Église orthodoxe russe n’est pas un monolithe derrière Poutine » : en exil, la résistance des prêtres antiguerre

Trois ans après le début du conflit ukrainien, quelques dizaines de prêtres orthodoxes russes antiguerre ont été contraints de fuir leur pays natal pour se réfugier à l’étranger. Depuis l’Allemagne, le réseau Mir Vsem essaie de les soutenir financièrement, dans l’espoir que ces voix minoritaires puissent, à terme, jouer un rôle dans la reconstruction d’un Patriarcat de Moscou moins idéologue qu’aujourd’hui.

« L’Église orthodoxe russe n’est pas un monolithe derrière Poutine » : en exil, la résistance des prêtres antiguerre
Trois ans après le début du conflit ukrainien, quelques dizaines de prêtres orthodoxes russes antiguerre ont été contraints de fuir leur pays natal pour se réfugier à l’étranger. Depuis l’Allemagne, le réseau Mir Vsem essaie de les soutenir financièrement, dans l’espoir que ces voix minoritaires puissent, à terme, jouer un rôle dans la reconstruction d’un Patriarcat de Moscou moins idéologue qu’aujourd’hui.