Omar Bradley, le libérateur qui voulait oublier Paris

Le 6 juin 1944, c’est au général Bradley qu’il incombe de coordonner l’ensemble des troupes américaines qui débarquent en Normandie. Il est préféré à George Patton, considéré par Eisenhower comme trop incontrôlable pour mettre en œuvre la complexité du plus grand débarquement de l’histoire. Le revers de la médaille, Bradley, en bon militaire, ne comprendra jamais pourquoi Paris n’était pas « qu’une tache d’encre » sur les cartes à « éviter dans la marche vers le Rhin ».

Omar Bradley, le libérateur qui voulait oublier Paris
Le 6 juin 1944, c’est au général Bradley qu’il incombe de coordonner l’ensemble des troupes américaines qui débarquent en Normandie. Il est préféré à George Patton, considéré par Eisenhower comme trop incontrôlable pour mettre en œuvre la complexité du plus grand débarquement de l’histoire. Le revers de la médaille, Bradley, en bon militaire, ne comprendra jamais pourquoi Paris n’était pas « qu’une tache d’encre » sur les cartes à « éviter dans la marche vers le Rhin ».