Procès de Mazan, les parties civiles invitent la société à une « prise de conscience pour en finir avec une violence qu’on voudrait d’un autre âge »
Après deux mois et demi de débats à la Cour criminelle d’Avignon, la parole a été donnée aux parties civiles dans le procès Pelicot. Dans leurs plaidoiries sobres mais puissantes, maître Camus et Babonneau ont estimé que « le viol n’est pas une fatalité en France », espérant qu’à travers ses décisions et ses réflexions sur notre culture du viol, ce procès devienne « historique ».
Après deux mois et demi de débats à la Cour criminelle d’Avignon, la parole a été donnée aux parties civiles dans le procès Pelicot. Dans leurs plaidoiries sobres mais puissantes, maître Camus et Babonneau ont estimé que « le viol n’est pas une fatalité en France », espérant qu’à travers ses décisions et ses réflexions sur notre culture du viol, ce procès devienne « historique ».