Rojava : Cemil Şanlı envoyé spécial en Syrie pour l’Huma
Il y a 10 ans, les Forces démocratiques Syriennes (FDS) aidées par la Coalition internationale, dont faisait notamment partie la France, ont repoussé l’Organisation Etat Islamique (OEI, aussi appelée Daesh) de la ville stratégique de Kobané. Frontalière avec la Turquie, située dans le nord de la Syrie, cette ville restera le théâtre de combats cruciaux contre l’organisation terroriste qui tombera 4 ans plus tard, en 2019. Les images des femmes combattantes kurdes des YPJ, cette unité militaire exclusivement composée de femmes, avait fait le tour du monde et suscité l'admiration.10 ans plus tard, le 26 janvier 2025, Kobané célèbre l’anniversaire de sa libération, mais pleure encore ses morts. Cette fois, l'agresseur est la Turquie d’Erdogan qui bombarde depuis le ciel avec ses drones militaires dans une totale impunité, et un silence médiatique et politique. Les victimes civiles sont nombreuses et régulières, comme en témoigne le reportage de Chloé Troadec à Kobané, en Une de l’Humanité

Il y a 10 ans, les Forces démocratiques Syriennes (FDS) aidées par la Coalition internationale, dont faisait notamment partie la France, ont repoussé l’Organisation Etat Islamique (OEI, aussi appelée Daesh) de la ville stratégique de Kobané. Frontalière avec la Turquie, située dans le nord de la Syrie, cette ville restera le théâtre de combats cruciaux contre l’organisation terroriste qui tombera 4 ans plus tard, en 2019. Les images des femmes combattantes kurdes des YPJ, cette unité militaire exclusivement composée de femmes, avait fait le tour du monde et suscité l'admiration.10 ans plus tard, le 26 janvier 2025, Kobané célèbre l’anniversaire de sa libération, mais pleure encore ses morts. Cette fois, l'agresseur est la Turquie d’Erdogan qui bombarde depuis le ciel avec ses drones militaires dans une totale impunité, et un silence médiatique et politique. Les victimes civiles sont nombreuses et régulières, comme en témoigne le reportage de Chloé Troadec à Kobané, en Une de l’Humanité le 30 janvier.Pour faire le point sur la situation, notre envoyé spécial Cemil Sanli s’est rendu sur place plusieurs jours fin janvier pour l’émission Ça Ira ! Reportage.